Salut ! 🙂 Je m’appelle Yann et je vous souhaite la bienvenu sur mon blog pour arrêter de fumer et sans rechute
J’espère qu’il vous inspirera dans votre arrêt tabagique et passer haut la main les étapes du sevrages tabagiques.
Je vais vous raconter les difficultés que j’ai eu au cours de mes arrêts.
Mais aussi, je vais vous raconter mon parcours et les étapes qui m’ont étés données de traverser.
La toute première cigarette, je pense que je m’en rappellerai toute ma vie.
J’étais au lycée.
Mais les classes se trouvais dans des préfabriqués à cause de travaux généraux.
À cette époque, les espaces fumeurs venaient tout juste d’exister.
Moi et mes copains fumions en cachette derrière les préfabriqués.
La première fois que j’ai eu une cigarette à la bouche, c’était une fin de cigarette.
Je me rappelle encore, une amie à moi m’a dit qu’elle avait commencé comme ça.
Elle avait des beaux yeux verts, et par la suite, ma chérie.
Bref, voilà comment j’ai commencé à fumer.
C’était derrière un préfabriqué, avec des amis.
Ce qui m’a poussé à continuer, c’est tout simplement le contexte social.
Pour faire simple, tous mes amis Fumaient ou presque.
Quand je sortais avec des amis, il fumaient tous.
Je me sentais donc à l’écart si je ne fumais pas.
Le fait de les voir tous avec un paquet de cigarettes dans la poche m’a incité moi à acheter mon premier paquet de cigarettes.
Je pense que je m’en rappellerai aussi toute ma vie, c’est un paquet de Malborot Light.
J’en donnais à tout le monde, moi personnellement, je ne pouvais fumer qu’une demi-cigarette.
Je ne pensais pas que la cigarette impacterais sur mon endurance et sur ma faculté de faire du sport.
Et je commence à cette époque à trouver que la cigarette est un moyen d’amusement bien plus facile que de faire du sport.
Je pratique le Taekwondo quatre fois par semaine.
J’étais un compétiteur hors-pair.
Mais j’ai tout lâcher pour sortir avec mes amis et m’amuser en fumant des cigarettes.
Je voulais simplement être comme eux, être accepté.
À mes 19 ans, mon addiction est à son summum.
Je me mets à consommer un paquet par jour.
Ne me rendant même pas compte que j’ai abandonné le sport que j’aimais pour une saloperie qui tue tous les jours.
Mais je trouvais ça cool.
Je ne voulais qu’une chose pouvoir m’identifier à mon cercle d’amis proches.
95 % de mes connaissances à cette époque fumaient la cigarette.
Je ne pouvais même pas imaginer vivre sans la cigarette.
Comme je viens de le dire, 95 % des personnes que je fréquentais souvent à cette époque, fumaient.
Je fais partie de la tribu.
Il est évident que pour moi que, arrêter de fumer serait très difficile dans de telle conditions.
Je ne prête plus attention, c’est normal.
Comme je l’ai dit un peu plus haut, je ne prête absolument pas attention aux faits que je fume.
Tous les messages qui sont sur les paquets de cigarettes sont pour moi des conneries.
Je ne prête même pas attention à mon endurance.
À vrai dire, j’avais tellement fait de sport étant plus jeune que mon endurance avait diminuer de 80 %.
Je pouvais encore courir 100 m sans être trop fatigué.
Mais fumer était devenu une habitude.
Je ne pouvais pas imaginer une minute que sortir sans cigarette était possible.
Et le pire, c’est que je ne me posais même pas la question « pourquoi c’est impossible de sortir sans tabac ? ».
Vous voyez très bien de quoi je parle, j’en suis sur.
Je pense qu’on est tous passé par ce moment, on ne se rendait absolument pas compte du danger que représente le tabac.
La seule chose qui importe vraiment, c’est la place qu’on avait au sein de la tribu.
Quand je me posais la question « est ce que j’arrêterai un jour ? ».
La réponse était toujours la même.
De toutes façons, tout le monde le fait.
C’est dans cette période que j’ai rencontré la plus belle femme qui m’est été donné de voir.
C’était aussi mon premier réel amour.
Sont prénom, c’est Tatiana.
Un sourire magnifique.
elle ne fumait pas.
Tous l’inverse de moi quoi.
Alors que ça fait deux ans que je me trouvais avec ma copine et que la vie était plutôt bien même si il y avait des hauts et des bas.
Je décidai d’incorporer un régiment de chasseurs parachutistes.
Plus précisément le 1er Régiment de Chasseur Parachutiste.
Quand je partis voir le Maréchal des logis pour intégrer ce régiment.
Il me certifia que rentrer chez les commandos parachutistes était dur et qu’il valait mieux arrêter de fumer.
En effet, étant donné, que c’est des commandos, il est essentiel d’avoir un cardio qui suit.
Je suivi les ordres et j’arrête de fumer.
C’était ma première tentative.
Cela a été pour moi moins difficile que je l’aurais imaginé.
En effet, ce que je voulais, c’était rentrer dans l’armée.
En me souvenant bien de mon sevrage la première fois, j’étais tout le temps sur les nerfs.
Je mâchais des chewing-gums à longueur de journée.
Je me disputais tout le temps avec ma copine.
La pauvre encaissait comme elle pouvait.
Je m’efforce de continuer quand même mon arrêt du tabac.
Si bien que j’ai réussi à tenir six mois sans toucher une seule cigarette.
Je courais quatre fois par semaine.
Et je m’entraînais comme je le pouvais en faisant des pompes et de la corde à sauter.
Un mois avant les examens d’entrée dans l’armée et quelques jours avant mon anniversaire, mon couple se brise.
Mais cette rupture amoureuse m’a mis au bord de la dépression.
Si bien que j’ai arrêté le sport.
Mon frère me convaincu de ne pas rentrer dans l’armée.
Les arguments qu’il m’a donné étaient simples.
Il pensait que j’allais là-bas pour me faire tuer.
Je perdis donc la motivation pour entrer dans l’armée.
Je perdis aussi la motivation de continuer mon arrêt, après tout, à quoi bon ça ne sert plus à rien, je ne vais plus dans l’armée.
Et puis la cigarette serait un bon réconfort vu le chagrin que j’avais.
Je tenu donc mon premier arrêt du tabac pendant six mois.
Aussi dur que ça a été pour moi comme pour ma copine, j’ai réussi à arrêter six mois.
Au bout duquel ma rupture amoureuse m’a fait replonger.
La difficulté la plus élevée que j’ai eue, ça a été de canaliser mon énergie et mes nerfs.
Là, où j’ai trouvé le plus de difficultés, c’est quand je conduisais ma voiture et qu’il y avait des gens qui conduisaient mal devant moi.
J’ai trouvé le moyen de m’énerver pour un oui ou pour un non.
De toute évidence, je ne relativisais pas assez.
Mais oui, la difficulté la plus élevée que j’ai eu, c’était bien m’énerver.
Suite à cet arrêt, qui a quand même duré six mois.
J’ai repris le tabac pendant trois ans.
Et rebelote, je ne me posais plus la question, c’était normal.
Que je parte en boîte de nuit avec des amis.
Ou même que je me retrouve tout seul devant la télé le soir.
Tout prétexte étais bon pour fumer une cigarette .
Le simple fait de me retrouver au feu rouge me donnais le temps de sortir une cigarette.
Je continuerais donc pendant trois ans à m’encrasser les poumons et les artères.
Au bout de ces trois années.
J’ai donc environ 25 ans.
Je suis encore jeune, mais certaines rides commencent à apparaître sur mon visage.
Essentiellement dû au fait que je fume.
À cette époque-là, je travaille dans une usine qui se trouve à plaisir, dans les Yvelines.
En allant là-bas, je croise certaines personnes qui ont déjà réussi à arrêter de fumer.
Je me pose aussi la question de savoir « pourquoi je fume ? ».
Me rendant compte que le contexte social y est pour quelque chose.
Mais dans la même dynamique, le fait qu’il ait des filles qui me plaisent, qui fument et qui prennent leur pause dehors pour fumer leurs cigarettes m’incite à poursuivre dans la mauvaise direction.
Je ne vais pas rejeter la faute sur les filles.
Après tout, c’est moi qui décide.
Ça, c’est avant que je décide de changer de vie.
Je n’avais qu’une envie, c’était de retourner faire du sport à haut niveau.
C’est à ce moment-là que j’ai décidé concrètement d’arrêter de fumer.
Et c’est là que je pris la décision qui a changé ma vie.
On peut appeler ça une prise de conscience.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que c’est à ce moment-là que j’ai commencé à me battre réellement.
Pour ma seconde tentative, j’avais pris conscience que la cigarette était néfaste pour moi.
Pour être totalement honnête avec vous, je ne me souviens pas vraiment de cet arrêt.
Si je me souviens bien, j’ai tenu une semaine et demie.
J’ai aussi essayé quel que chose que les collègues mon conseillaient.
Mon chef était passé voir un acuponcteur.
Elle avait déjà arrêté l’a cigarette depuis 9 mois.
Je fit donc ce qu’on me conseilla et pris rendez vous avec ce monsieur.
Après 2 séance, les effets des aiguilles fonctionnent, mais pas la motivation que j’ai pour arrêter de fumer.
Toutes mes fréquentations, que se sois mes amis ou ma famille étaient des fumeurs convaincus.
Je ne pris malheureusement pas compte des enseignements cette fois ci.
La troisième tentative, si je me souviens bien.
Je passé le sevrage haut la main.
Malgré les difficultés dues à mon contexte social encore une fois et à mon travail, cette tentative fut très difficile.
J’ai néanmoins réussi à tenir trois mois.
Malgré tous les symptômes que j’ai subis, j’ai tenu bon.
À cette époque-là, j’ai subjugué tout le monde.
J’ai tenu trois mois sans arrêter de fréquenter toutes les personnes fumeuses de mon entourage.
Et cette troisième tentative, j’ai réussi à retenir les causes de ma rechute.
Encore une fois, je n’ai pas réussi à arrêter de fumer définitivement.
Je me souviens encore parfaitement de ce que je pensais au bout de ces trois mois.
Des idées comme c’est bon, c’est fini le tabac.
De toute façon je suis plus fort que les autres et je vais arriver à tenir même s’il n’y arrivent pas.
Même en soirée, je serai capable de tenir le coup.
C’est pensée la m’accablais l’esprit.
Bonne soirée, la fête bat son plein, j’ai bu et mes amis aussi.
Avec l’alcool, je me pensais invincible, mais ce n’était pas le cas, au contraire.
Une fois que j’ai bu une demie bouteille de whisky, oui, j’étais dans un état pas très beau.
J’ai demandé à un de mes meilleurs amis de me payer une cigarette.
Pensant que le lendemain, je ne voudrais pas.
Et ce fut l’erreur fatale.
Une fois, cette cigarette au bec et fumée entièrement, non sans mal.
J’ai continué de taxer des cigarettes toute la soirée.
Si bien que le lendemain, je partis au premier bureau de tabac que je trouve ouvert, et j’ai pris deux paquets de cigarettes un pour moi et un pour mon ami.
Voyez comme il est simple de retomber dans le cercle vicieux de la cigarette malgré qu’on en soi sorti.
La quatrième tentative était un examen complet de ce qui m’arrive quand je m’arrête de fumer.
J’ai pris note des symptômes que je subis.
Pendant cet arrêt, je n’ai pas fait que noter les symptômes.
J’ai aussi fait des recherches sur ce que la cigarette apportais au cerveau.
J’apprends que l’hypnose est une source sûre pour arrêter de fumer.
Mais il ne marche uniquement que si on a la motivation nécessaire pour y arriver.
Et l’hypnose coûte cher.
Vu que pour un fumeur, les séances d’hypnose allaient entre cinq séances et 10 séances.
J’ai pris aussi note qu’une séance d’hypnose peut coûter entre 50 et 90 euros.
Je continue mon combat sans pour autant penser une seconde à utiliser cette méthode.
Je suis quelqu’un de débrouillard et je sais que l’hypnose ne me sera pas utile.
À ce moment de ma vie, ma vie sociale et sentimentale était terriblement vide.
Elle ce limitais à 80 % au jeux vidéos et aux personnes que je côtoyaient.
À cause de l’ennui.
Du stress qu’engendrent les jeux vidéo.
Et le manque de motivation.
Encore une fois, je perds mon combat face au tabac.
Mais je ne baisserai pas les bras pour autant.
Nous en venons à la dernière tentative.
Celle-ci même où je me trouve à ce moment où j’écris.
Cette fois ci, j’ai tenu.
Il faut dire que mon combat n’était pas gagné d’avance, mais que j’avais de grandes chances de remporter cette manche.
J’avais pris bonne note des causes d’échec de chaque arrêt.
Je pris bonne note de toutes les armes qui pouvaient m’aider pour arrêter de fumer.
Encore fort de l’expérience de plusieurs arrêts non concluants.
Donc, je me suis lancé dans le combat pour la cinquième fois armé jusqu’aux dents.
J’ai mis en pratique aussi ce que j’avais appris pendant mes échecs.
Tout ce qui étais cause de rechute a été tout simplement écarté.
J’ai fait un petit peu de ménage comme qui dirait.
J’arrête de fréquenter certaines fréquentations.
Je me suis fait un programme pour non seulement réussir mon sevrage, mais aussi réussir mon arrêt au long terme.
Et tout ce que j’ai mis en place il y a de cela au moment où j’écris ces lignes un an et quatre mois a fonctionné à la perfection.
Cela à même beaucoup mieux fonctionné que je le pensais au départ.
Aujourd’hui, je n’ai absolument pas envie de reprendre la cigarette.
À l’époque, je fumais, je pesais 57 kg.
Aujourd’hui, je pèse 75 kg pour 1,75 m.
Je vous laisse imaginer la santé que j’ai récupérée.
Mieux, je fais du sport tous les deux jours.
En moyenne, 45 minute de sport me suffisent.
Je continue d’appliquer scrupuleusement les techniques que j’ai moi-même mis au point.
Les mêmes techniques qui sont présentes dans le programme que je vends.
Et ça marche toujours aussi bien.
À une époque, j’étais un fumeur convaincu et chevronné.
Je fumais mon paquet par jour, et j’ai anticipé chaque dimanche.
Pour tous ceux qui fument, ils savent très bien de quoi je parle.
Et les jours fériés ne font pas exception à mon anticipation.
J’avais toujours un paquet sur moi.
Jamais je ne me retrouver en rade.
Et pourtant, le gros fumeur que j’étais est devenu un bon ancien fumeur convaincu et qui s’efforce de convaincre les fumeurs qui veulent en finir avec ce poison.
J’ai tout simplement pris conscience que le tabac était un poison qui tue des centaines de milliers de personnes, parents et enfants confondus.
Le tabac ne juge pas, le tabac ne condamne pas, le tabac ne pardonne pas.
La prise de conscience, c’est faîte ainsi.
J’étais devant ma télé en train de jouer à la console.
Quand brutalement une idée m’a traversé l’esprit.
Qu’est-ce que je suis en train de faire.
Normalement, mon esprit me dit, je suis en train de fumer.
Mais en cherchant un petit peu plus loin.
Je répondit, je suis en train de me tuer.
A nouveau, de me tuer et je paye pour ça.
J’ai besoin de cette merde pour pouvoir jouer à la console ou regarder la télé.
Tout a démarré là.
Hormis la première tentative qui était due à mon entrée dans l’armée.
Les autres tentatives ce sont prisent suite à cette réflexion.
Suite à la prise de conscience.
Tout simplement, j’ai tout essayé pour arrêter de fumer ou presque.
J’ai mis en place un système fiable et efficace suite à mon expérience.
Mélanger le système que j’ai conçu avec une bonne volonté.
Et vous obtenez un ancien fumeur convaincu.
J’ai aussi tenu bon quand c’était difficile.
Le simple fait de me retrouver dans un festival de reggae avec tous mes potes fumeurs, entouré de fumeurs pendant un week-end tout entier.
Que le samedi soir, j’ai bu une dizaine de bières.
Et que même sous l’effet de l’alcool, le système que j’ai mis en place fonctionnais même dans mon subconscient.
Tout ça indique que mon programme fonctionne.
Mais il ne fonctionnera pas sans la volonté nécessaire.
Tout comme l’hypnose ou l’acuponcture, mon système a besoin de volonté pour fonctionner.
Et vous y arrivez comme j’y suis arrivé.
J’aime beaucoup prendre l’exemple du soldat.
Le soldat quand il va au combat, n’a pas que la volonté, il a aussi les armes.
À l’inverse, si le soldat va au combat juste avec les armes, mais sans la volonté, cela ne ferait pas un soldat.
Il faut un bon compromis entre corps et esprit pour réussir tout ce qu’on entreprend.
Je suis présent sur le forum doctissimo.fr
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